Je traversais le hall en direction des escaliers aussi vite que me le permettaient la foule, sinuant entre les élèvent qui ce regroupaient pour discuté. J’étais maintenant réglé comme une horloge suisse, j’arrivais a 8h00 précise entre ces murs, pour ne jamais êtres en retard. Et je n’y manquât pas non plus ce jour-là. Je me frayais un chemin aussi discrètement que possible et fixais les marches faisant mine de rien, pour ne pas être remarqué. Ce n’était pas un jeu, même si ça y ressemblait parfois. Les personnes de ce lycée ne me veulent pas dans leur sphère et je ne souhaite pas les rejoindre, ce n’est donc pas maintenant que ça allait changer.

Pour autant, avant j’étais comme eux, populaire, connue, respecté mais tout cela avait changer, mais aurais-je le droit de rêver a redevenir moi, non ?

Je me glissais dans les escaliers au milieu des bousculades. Le bâtiment ancien était en pleine réhabilitation. On rénovait, on modernisait. Toutefois, les escaliers étaient encore de la vielle école. Plus petit et pentue que ces contemporains, mais ils n’en accomplissait pas moins son boulot et grimpait les étages avec des grincements strident, dont plus personne ne faisait attention.

Je repositionnai mon sac sur mon dos tout en prenant dans l’une de mes petite poche de coté, une photo de mon père et de ma mère, pendant un repas d’affaire a Las Vegas a l’intérieur de l’ancien casino de mon père, qui m’appartiendrait dés ma majorité. Une petite image mentale d’eux , ou nous étions tous dans notre maison me revient a l’esprit mais ce rêve fut interrompu par un groupe de footballeurs, qui me bloquèrent le chemin en haut des escaliers et me retirèrent mon bien.

Je ne pouvais absolument rien coincer eux étant plus nombreux et faisant trois tête de plus que moi, je me sentais impuissante avec un grand sentiment d’insécurité au milieu de ce groupe de brute. J’aurais put sautillait comme une sauterelle pour récupéré ma photo, mais je savais que ceci était complètement inutile, une foi qu’ils en auraient terminé, ils me laisseraient tranquille et je reprendrais ma route, jusqu’un autre jours ou il trouverons de nouveau de l’attention vers moi, pour me voler, me ridiculisé en public, mais je n’en avais plus rien a faire, mais je ne pouvais tout de même pas resté, les bras croisé quand un grand brun, tenant ma photo a deux mains me sourit et me dit.

- Ho qu’ils sont mignons … Mais maintenant qu’ils sont séparé, ne devraient ils pas l’être sur cette photo aussi ?

Alors il alliât le geste a la parole et déchira la photo. Je cria de tout mes poumons.

- Nooon !

Mais il était déjà trop tard, ils étaient tous hilare c’est alors qu’il sortit un briquet de sa poche, mais je vis un bras se posait sur sa main, les larmes commençaient a couler le long de mon visage. Je ne voulais pas leur montrait ce que je ressentait mais je ne pouvais pas les empêchaient de couler, je ne pouvais pas lutter, la blessure était encore trop fraîche.

La jeune fille était une cheerleaders, habillé de sa tenue classique et de la fameuse queue de cheval parfaite, mais pourquoi donc me venait elle en aide a moi　? Savait elle dans quoi ceci pouvait l’embarquer de protégé une personne comme moi contre des footballeurs. Il lui avait fallut du courage et de l’audace tout ce que je n’avait plus depuis ces quelques années ici J’admirais ce brune, toujours parfaite, sans histoire, avec tout les garçons a ces pieds, une file exceptionnelle et populaire. Ils échangèrent quelques paroles, et le groupe ce dispersa, avec bien entendu, une menace inutile du gros tas de muscles envers moi. Je me retrouva seul avec elle.



- Tiens. Ce sont tes parents　?



Elle me dit cela en me rendant ma photo. Mais je senti une gênes dans ces paroles, peut être avait elle des problèmes avec ces parents, mais je ne voulais pas lui faire perdre sont temps, une fille comme elle, ne peut réellement s’intéresser a ma pauvre vie. Mais autant répondre a sa question, je n’avais rien a perdre.



- Oui, ce sont mes parents…. Il y a quelque choses qui ne va pas　?



Je lui dit ça car sont visage venait de changer d’expression, je connaissais bien cette expression, celle de la tristesse, elle avait était furtive, mais jus tout de même le temps de l’apercevoir, elle m’avait et me hante encore depuis ces deux ans. Mais que pouvait bien arriver a une cheerleaders, ces parents ne voulait pas la laisser sortir le soir　? Non, je pense que ceci était bien plus intense que cela. Elle avait de la colère aussi dans sa voix. Avait elle de gros ennuis　? Je ne devait peut être pas m’en mêlé, mais vu quelle venait de me "　secourir　" si je puis dire. Je lui devait bien une oreille attentive, ceci est toujours agréable d’être écouter.